Solidarité avec les travailleurs de Carrefour Belgique !

Solidarité avec les travailleurs de Carrefour Belgique !

La Fédération socialiste bruxelloise est scandalisée par l’annonce de restructuration du groupe Carrefour Belgique. 
1233 travailleurs qui seront potentiellement impactés par ces mesures !
L’histoire semble être un tragique éternel recommencement…
Souvenez-vous, septembre 2016, l’annonce choc de la fermeture du site Caterpillar à Gosselies a plongé dans l’émoi et la tristesse la Belgique entière. 
Et Comment ne pas penser aux travailleurs d’ING, d’AXA, de Blokker, de RTL,… ? Janvier 2018, les faits se répètent.  Mais que faire concrètement ?  Après les beaux discours du Premier Ministre et du Ministre de l’Emploi en 2015, où sont passés les actes ? 
Le Gouvernement fédéral n’a pas mis le temps à profit pour réformer la loi Renault afin d’interdire les licenciements boursiers, et aujourd’hui, nous pouvons constater que de nouveaux travailleurs, de nouvelles familles se demandent ce qui adviendra de leurs emplois et de leur futur.
La proposition de loi du Groupe PS la Chambre était pourtant la solution afin que ce genre de drame ne se reproduise plus : une interdiction pure et simple des licenciements boursiers.  Mais le Gouvernement fédéral n’en a eu que faire. 
Nous ne pouvons pourtant pas rester à nouveau immobiles face à cette catastrophe sociale. 
Les grosses entreprises ont tendance à oublier que l’humain est le socle de leur pérennité. 
Carrefour parle de rationalisation, de simplification des « process », d’économie digitale, de grands mots pour dire simplement : « travailleurs, votre emploi est menacé ». 
La Fédération bruxelloise socialiste et sa présidente Laurette Onkelinx souhaitent manifester toute leur solidarité à ces travailleurs et à leurs familles.
Déclaration de politique générale du Parlement bruxellois – Caroline Désir

Déclaration de politique générale du Parlement bruxellois – Caroline Désir

 

Il y a un peu plus d’un mois, ce Parlement clôturait une mauvaise séquence politique en renouvelant la confiance dans l’action de ce Gouvernement. C’était un acte politique nécessaire qui a permis, je pense, de retrouver le chemin du dialogue. Faire de la politique, ce n’est pas avoir raison tout seul. Ca ne le sera jamais. Creuser le fossé de nos divergences idéologiques, à coups d’anathèmes, témoigne d’une paresse intellectuelle qui consiste à s’accommoder de ce qui nous divise plutôt que de travailler à dégager le commun. Une rétrospective rapide sur cette année parlementaire me rassure, même s’il nous reste une série de dossiers pour lesquels nous avons la même obligation de résultat.

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